Nino ► Qui a les plus grosses maracasses?

Nino est tout ce qu’il y a de plus doux lorsqu’on apprend à le connaître. Décalé et dynamique, on a du mal à le suivre et parfois, il faut bien le dire, on en a pas tellement l’envie. Il est tellement fatiguant ce mexicain à nous trainer de partout ! On aime généralement son humour décalé. On déteste tout autant son égoïsme qui le pousse parfois à nous laisser derrière. Pas qu’il soit méchant, il est tout simplement différent. Et nino, il déteste perdre son temps. Il passe sa vie à compter : les minutes que l’on met à arriver, les marches qu’il doit monter pour atteindre son appartement, les pas de danse et les kilomètres qui le séparent de son pays d’origine. Nino, c’est aussi un homme sûr de lui, un homme fier, beaucoup trop fier, il suffit d’un échec pour qu’il s’écroule, il n’aime pas perdre. Il serait prêt à tout pour devenir le meilleur. Ce qu’il peut envier les autres. Chaque coin de rue et chaque visage lui donne l’impression de ne pas avoir tout ce qu’il aurait voulu posséder. Il rêve du grand freedom et il envie les personnes libres. C’est ce désir qui l’a poussé à faire de la danse. C’est la danse qui l’a empêché de sombrer dans la violence Mexicaine. Il ne faut pas toujours croire les idées reçues, naitre et vivre dans un milieu défavorisé de fait pas de nous un homme mauvais. Bien au contraire. Nino, c’est le genre de gars qui sait exactement quand il faut agir et quand il faut se taire. Il a un talent fou pour saisir les opportunités. On l’envie pour cela et pourtant son secret est simple : il ne réfléchit jamais. C’est aussi l’un de ses plus gros défauts. Il ne prend pas le temps de se poser, agit et réalise en retard ses erreurs. Il a perdu des gens à cause de ça. Mais il ne regrette jamais. Si on l’aime, on pardonne. Parce que Nino, lui, il pardonne à chaque fois. C’est peux être de la naïveté pour les autres, mais il se plait à dire qu’il comprend, tout simplement. Son altruisme ne l’empêche pas de garder en tête les crasses. On le sait indulgent, on le sait aussi démesuré. Il ne venge jamais à moitié. D’apparence, Nino est un homme charmeur, peux être un peu dur et probablement macho. Son manque de politesse lui donne une image de brutalité qui pousse les gens à ne pas apprendre à le connaître. C’est tout autre ! Il est ce qu’il y a de plus amical et de plus festif, capable de transformer n’importe quel sorti en une véritable fête. C’est un homme joueur aussi et il est accro au défi et à l’adrénaline. Il accepte tout, sauf une chose : mettre les pieds dans l’eau. Il ne sait pas nager, il craint de se noyer et pire encore de tomber sur un tsunami. C’est ridicule, tout le monde est d’accord. Sauf lui, il est très sérieux. En amour, on aime sa présence, faut-il encore l’attraper. Pas que Nino tombe difficilement amoureux, bien au contraire, il a tendance à craquer pour n’importe qui. La difficulté réside dans sa stabilité. Il a besoin d’action, de changement, de passion, qu’on puisse suivre son train de vie et ce n’est pas le cas de tout le monde. Alors Nino vit comme un libertin, de nouvelle rencontre, de nouveau drap. N’empêche qu’il aimerait pouvoir partager une histoire, une vraie. Ce n’est pas tant un romantique, on peut même dire qu’il est assez maladroit pour ce genre de chose, il n’aime pas les fleurs, il n’aime pas les longues balade. Il préfère les moments inattendus, les restaurants populaires où il y a trop de bruit, pour tout dire, il aurait même tendance à préférer un bon bar. S’il ne vous emmène pas roucouler sur une grande roue, il est capable de vous emmener faire un tour sur le toit d’un vieil immeuble pour apprécier la vue. S’il ne vient pas faire les magasins avec vous, il peut vous initier à l’art de l’escalade urbain. Il n’aime pas le classique, il est compliqué, il est arrogant, parfois vexant. Mais il comprend, il accepte les larmes, les rires et les insultes. Nino accepte les gens comme ils sont, tant qu’on en fait de même avec lui. Il est simple et il est compliqué.

I love You veut dire que vous êtes un ami, Te quiero que vous êtes celui ou celle qu’il lui faut.

Finalement, c’est qu’une question de compréhension.