Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --'

Invité

T A T I A N A . H A N N A .

F A L L D O W N .

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« Au fond, ce fameux coup de foudre dont on fait si grand cas n'est sans doute qu'un choc de cymbales. La simple percussion de deux disponibilités urgentes...» [Alexandre Millon]

Âgée de vingt-et-un ans ★ née à Los Angeles ★ Est Célibataire ★ Est Hétérosexuelle ★ Est Étudiante en Danse
★ Votre personnage aurait-il une raison de tuer Jenny Rosewood ? Oui, Jenny, on ne sait trop comment, fut mise au courant du lourd secret de Tatiana, c'est à dire de l'enfant dont elle a avorté. L'enfant de Maxim, le frère de Jenny. Et, Jenny menaçait Tatiana de révéler la vérité à son frère. Et, entre nous, Tatiana n'appréciait pas vraiment cette situation. Elle avait toujours peur que Jenny passe à l'action, une bonne fois pour toute.

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ARLEQUIN DRAGIBUS STROUMPFS CHUPA CHUPS FRAISE TAGADA

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Tatiana est quelqu'un de plutôt banal ; pleine de vie, sensible, plutôt gentille, et prévenante. Elle cherche rarement les conflits, et a plutôt tendance à les fuir. Lorsqu'elle ne connaît pas les gens qu'elle a en face d'elle, elle parle peu mais observe beaucoup, histoire de repérer les gens à éviter par la suite. Sa timidité étant très prononcée, elle apparaît souvent aux yeux de tous comme une fille fragile. Pourtant, la jeune femme sait se protéger seule, et s'énerver quand il y a besoin. Elle mettra du temps à s'énerver vraiment, certes, mais quand elle le fera, ça ne sera pas pour rien, et gare à ceux qui se trouveront en face d'elle à ce moment-là. Douce et affectueuse en temps normal, elle est cependant jalouse et bornée. C'est sans doute son manque de confiance en elle qui la pousse à douter de tout, et surtout des filles qui rodent autour de ses conquêtes (et de ses ex-conquêtes, au passage). Mais pourtant cette jalousie ne fait pas d'elle quelqu'un qui avoue ouvertement ses sentiments amoureux. C'est d'ailleurs bien souvent le problème qui se pose rapidement avec ses partenaires. Elle veut l'exclusivité, mais est incapable de prouver ou d'avouer son amour..

attachante
jalouse
douce
rancunière
rigolote
ambitieuse

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« Once upon a time... »

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ACTE I : l’enfance, l’âge de la vie où tout semble possible, où on imagine qu’il suffira de vouloir changer son destin.Gilles Archambault]

« Je m’appelle Tatiana, et j’ai 21 ans. Je suis née à Stratov, en russie. Enfin, quand je dis « je », je veux dire « nous » : moi et ma sœur jumelle Elina. Nous y avons vécu nos cinq premières années ; et du peu que je m’en souvienne, nous adorions ce pays. Sans être richissimes, nous faisions partie des gens aisés, en Russie. Mon père, Oleg Faldov, avait beaucoup d’ambition. PDG d’une importante usine de montres, qui réalisait principalement de l’exportation vers les pays étrangers, il décida d’installer son siège social aux états-unis, afin de s’ouvrir un peu plus au monde. Nous déménageâmes donc à Los Angeles l’année de nos cinq ans, avec à la clé, une américanisation de notre nom de famille. Pour ma mère, Annushka, ce fut un déchirement de quitter ce pays qu’elle aimait tant. D’ailleurs, je crois qu’elle ne s’en ai jamais réellement remise.

À l’inverse, ce déracinement nous souda encore plus, ma sœur et moi. Nous affrontions à deux, l’épreuve d’un nouveau pays, d’une nouvelle langue, et de nouveaux amis. Nous évoluâmes toujours à deux, toujours dans les mêmes classes. Quelques fois, les professeurs essayèrent de nous séparer dans deux classes différentes, mais nous étions si malheureuses l’une sans l’autre, que le jour suivant, nous étions à nouveau dans la même classe. Nous ne somme pas de vraies sœur jumelles, cependant la ressemblance était frappante, et nous aimions en jouer. Deux jeunes filles aux longs cheveux blonds dorés et au teint pâle, qui se tenaient par la main dans la cour de récréation, cela avait de quoi attirer les petits curieux. Ainsi, nous n’avons jamais eu du mal à nous faire de nouveau amis. L’une sans l’autre, nous étions d’une timidité maladive ; l’une avec l’autre, nous étions plus fortes que quiconque.

C’est après le collège que nos vies finirent par diverger un peu. Elle, attirée par la photographie ; moi, passionnée par la danse. Au grand damne de notre père, il n’avait engendrée que deux filles artistes dans l’âme, et loin d’être intéressées par le business. Par chance, nous furent acceptées toutes les deux dans la même faculté : Columbia University, à New York. C’est ainsi que, l’année de nos 18 ans, nous débarquâmes à New York avec nos valises, trouvâmes un joli petit appartement cosy à Rosewood, qui convenait parfaitement au budget -pas si misérable- que notre père nous avait alloué. »

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ACTE II : Danser, c’est comme parler en silence. C’est dire plein de choses sans dire un mot. [Yuri Buenaventura]

La musique résonnait dans cette grande salle qui m’était si familière. Son odeur, son âme, sa chaleur ; j’aimais tout de cette salle. C’était mon refuge, mon tout, une extension de mon être. Rien, à mes yeux, n’était plus important que la danse. Les paroles de ma professeur de danse classique résonnaient encore dans mes oreilles ; elle venait de me virer du cours pour cause de manque d’assiduité. A 20 ans, je consacrais ma vie toute entière à la danse ; c’était injuste de sa part. J’avais des nausées abominables depuis trois semaines, mais j’avais tenu bon et avais assisté à tous les cours de cette matinée avec force et volonté. C’est à onze heure que je m’étais accordée une petite pause prolongée ; j’avais donc eu dix petites minutes de retard au cours de danse classique. Et elle ne m’avait pas raté.

J’avançai vers le poste de musique, et détachai mon chignon après avoir mis la musique en marche. Un rythme cadencé et rapide débuta. Petit à petit, je me laissai entraîner et improvisai une chorégraphie qui fit violence à mon corps tant elle était rapide et technique. En même temps que j’évoluais au milieu de cette salle vide, des larmes coulaient le long de mes joues. Que m’arrivait-il ? J’avais toujours fait partie des meilleures, dans cette école ; et depuis plusieurs semaines je n’arrivais plus à tenir le rythme. Je dus me reprendre à trois fois pour réussir l’enchaînement sauté de la chorégraphie, tant parce que je ne voyais plus rien à cause de mes larmes, que parce que mon corps ne suivait plus. Je finis par m’écrouler au sol, épuisée, secouée par des sanglots que je ne maîtrisais pas. Mais pourquoi je pleurais, au juste ?! Je n’en avais pas la moindre idée, je ne maîtrisais plus rien…

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ACTE III : Les avantages du mensonge sont d’un moment, et ceux de la vérité sont éternels ; mais les suites fâcheuses de la vérité passent vite, alors que celles du mensonge ne finissent qu’avec lui. [Denis Diderot]

J’avais retourné la question mille fois dans ma tête. Aucune réponse évidente ne s’était imposée à moi ; j’avais choisi la solution qui me paraissait avoir le moins de conséquences pour plus tard. En conclusion, il allait falloir que je me débrouille seule, pour ce coup-là. Si je voulais espérer que personne dans mon école ne soit au courant de mon problème, il faudrait pour cela que j’éloigne tout le monde de moi. Maxim y compris. En fait, je crois que ça me rassurais de me dire que je m’éloignais de lui simplement pour préserver le secret ; ainsi, la question de me confronter à lui, passait à la trappe. Je le savais, il avait théoriquement le droit d’être mis au courant, cette histoire le concernait autant que moi… Mais là, on parlait surtout de mon avenir ! D’un côté, il y avait nos trois ans, trois magnifiques années de pur bonheur ; et de l’autre côté, il y avait tout mon avenir. Je ne pouvais décemment pas choisir une autre option que l’avortement. Car oui, voilà quel était mon problème : j’étais enceinte. Dans un autre contexte, je suis certaine que j’aurais pu aimer -et peut-être même, rendre heureux- ce petit bout ; mais là il y avait trop d’enjeux. Sans la danse, je n’étais rien ; alors que sans cet enfant, je parviendrais peut-être à devenir quelqu’un…

On sonna à la porte de l’appartement que je partageais avec ma sœur jumelle, Elina. Je me levai et me dirigeai vers la porte, tout en jetant un regard dépité à mon reflet dans le miroir. Une fille déplorable habillée de fringues toutes plus larges les unes que les autres : voilà ce que je voyais. J’avais tellement peur que mes 6 semaines de grossesse soient remarquées..! Il faut dire que j’avais déjà tant de mal à cacher mes nausées... Mon cœur se serra quand je vis Maxim face à moi. Je voyais en lui cet enfant qui ne naîtrait jamais ; la culpabilité s’abattit sur moi avec force et vigueur. Comment pourrais-je bien continuer à le regarder en face après ce que j’allais lui faire ? Je détournais la tête au moment où il s’avança pour m’embrasser, lui arrachant une grimace de surprise. « Heu… ça va pas ? » demanda-t-il en essayant de cacher sa vexation. Je baissai la tête, je n‘arrivais pas à affronter son regard. Cela faisait trois ans que nous étions ensemble, et pourtant, je l‘aimais comme au premier jour. Je savais l‘effet qu‘il me faisait, et j‘avais peur qu‘en lui avouant ma grossesse, il me fasse changer de décision. C‘était déjà bien assez dur comme ça. « J’ai fais quelque chose de mal ? » reprit-il en s’avançant dans l’appartement. Je refermai la porte après lui, et m’adossai contre cette dernière. Si seulement il avait pu faire quelque chose de mal..! Cela m’aurait facilité les choses ! « il faut qu’on parle, Max… » hasardais-je, toujours adossée contre cette porte, les mains dans mon dos, et le regard rivé à terre. Un silence de plomb s’installa, pendant que je me battais pour ravaler mes larmes. « ça ne peut plus continuer comme ça. » lançais-je soudain, tranchant le silence d’une voix que je fis aussi dure que possible. Je le sentis vaciller, face à moi. C’était horrible, j’avais l’impression de le prendre en traître, de lui faire du mal sans raison. Bon, en fait, ce n’&tait pas qu’une impression. C’était la vérité. « Quoi ? Mais… je comprends pas, là..! » finit-il par articuler au bout de quelques instants. « c’est finit. » répétais-je plus clairement. Je sentais ma gorge se serrer, et mes jambes tremblaient affreusement ; heureusement que j’étais adossée contre la porte. Maxim s’avança vers moi et me pris la tête entre ses mains, pour la relever, puis il planta ses yeux dans les miens. Je tressaillis mais me concentrais pour ne rien laisser paraître. Qu’est-ce que c’était dur ! J’aurais aimé l’embrasser, enfouir ma tête dans son cou, et m’excuser toute la nuit. Ho oui, m’excuser du mal que j’étais en train de faire à l’homme que j’aimais ! Mais je repensais aux paroles de ma prof de danse classique ; l’arrivée au sommet ne se faisait pas sans sacrifice. « tu ne m’aimes plus ? » demanda simplement Maxim, les yeux rivés dans les miens, le corps collé au mien. Mon corps et mon cœur voulaient hurler que je ne l’avais jamais autant aimé, alors que mon cerveau bataillait pour me faire sortir la réponse fatidique. « non… » parvins-je à murmurer en baissant le regard. « Tatiana, ose me dire que tu ne m’aimes plus, en me regardant dans les yeux… » « Je ne t’aime plus. Je ne t’aime pas. Je ne t’ai jamais aimé. » rétorquais-je aussitôt en étouffant les cris d’amour que mon cœur faisait résonner dans ma tête. Cinq minutes plus tard, je me retrouvais seule. Maxim était parti. Il ne reviendrait sûrement jamais. Je m’écœurais moi-même.

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ACTE IV : « On a beau dire, une rupture, ça libère, mais ça déchire aussi, ne serait-ce que la routine. » [Bertrand Vac]

Cela faisait quinze jours que j’avais rompu avec Maxim ; et dix jours que j’avais avorté. J’avais l’impression de subir une double peine. Une double peine que je m’étais cependant moi-même infligée. Je tentais chaque soir, en me couchant, de me persuader que j’avais fait le bon choix. Et chaque matin, j’espérais croiser Maxim, qu’il me pardonne, et que tout recommence comme avant. Cependant, depuis une semaine, j‘étais scotchée à mon lit et ne sortais plus que pour aller à mes cours de danse. En effet, depuis une semaine, Maxim avait une nouvelle copine : ma sœur jumelle, Elina. Seul Mathis était autorisé à rentrer dans ma chambre et me voir dans ce si piteux état. Et ce soir, il avait décidé de me sortir et de me changer les idées. « Mais qu’Est-ce que c’est que ce trou à rat… » marmonnais-je en croisant les bras et en m’enfonçant un peu plus dans mon siège. « Hein ? Tu m’as dis quelque chose ? » demanda Mathis, assis à côté de moi. Il était deux heures du matin, nous étions un mercredi soir, et Mathis, celui que je considérais comme mon meilleur ami, avait pris la soudaine envie de sortir. Il m’avait donc traîné dans une boîte que je ne connaissais pas, mais que je haïssais déjà. On était mercredi soir, et forcément il n’y avait pas grand monde… « Oui, c’est à toi que je parlais. A qui veux tu que je parle ? On est deux paumés assis à une table un mercredi soir dans une boîte vide… » rétorquais-je en arquant un sourcil. « Quoi ? » reprit-il à nouveau en hurlant. « Putain mais t’es sourd ou bien tu le fais exprès, Mat ?! » rétorquais-je. « Bordel Tatiana, parle plus fort, j’entends rien avec la musique ! ». « Tu m’soûles… » soupirais-je en lui tapant dans le bras et en me retenant de sourire face à ce dialogue de sourd. « En tout cas, rappelle-moi de ne plus jamais suivre tes plans foireux, Mathis… Et là, je suis sérieuse. » lâchais-je en apercevant Maxim entrer dans le night-club, accompagné -biensur- de ma sœur Elina. Je pivotai discrètement sur mon siège de façon à leur tourner le dos, espérant qu’ils ne me voient pas. Mais le regard que me lança Mathis fut sans équivoque ; ils m’avaient remarqués. Je n’avais aucune envie de rester ici, à les regarder se toucher, s’embrasser, et rigoler ensemble. Ça m’écœurait, ça me blessait, ça me tuait. Je me rassis donc normalement, et commençai à siroter mon cocktail de manière machinale, le regard vide. Plus vite j’aurais terminé, plus vite nous pourrions partir. J’aurais aimé être une petite souris et me terrer dans un coin, à l’abri de tout, à l’abri de lui. Depuis que j’avais rompu avec lui, il portait toujours sur moi un regard plein de dégout et de reproches ; et depuis qu’il était avec Elina, il prenait un malin plaisir à me prouver qu’il avait tourné la page. Quel beau retournement de situation ! Je l’avais quitté en pensant à mon avenir, et voilà que c’était lui qui assurait son avenir, pendant que moi je ramais. Elina me fit un léger geste de la main, de loin, et sans grande conviction d’avoir une réponse. Nous étions en froid depuis que je considérais qu’elle ‘’mangeait mes restes‘’. Maxim vint se poser à quelques mètres seulement de notre table, bien que le night-club soit pratiquement vide, et me lança un regard appuyé avant d’embrasser Elina à pleine bouche. Mon corps se figea et je ressentis comme une décharge électrique parcourir mon dos. Avec le recul, je me rendais compte de l’énorme erreur que j’avais fait en rompant avec lui. Je l’aimais encore ; peut-être même plus que jamais. À côté de moi, Mathis fulminait tout autant que je m’affaiblissais sous leur vue. C’est à peu près à ce moment-là qu’il dérapa et se laissa trop emporter par ses émotions. Sans doute essaya-t-il de se montrer solidaire, sans doute pensa-t-il que cela pourrait rendre Maxim jaloux… mais toujours est-il qu'il approcha vivement son visage du mien et m’embrassa. Ce fut un baiser à la fois doux et fougueux ; je ne peux nier qu’il fut agréable. Je me redressais sur mon siège et regardai aussitôt vers Max’, anxieuse. Ce-dernier me fusilla du regard ; je n’arrivais même pas à distinguer de jalousie dans ses yeux, seulement de la haine. Je me mordillai la lèvre inférieure et le regardai d’un air penaud qui n’arrangea rien ; pendant que lui et Elina quittaient le night-club. « Bordel mais qu’est-ce qui t’a pris, Mat’ ?! » hurlais-je, les larmes aux yeux. Il semblait vraiment perdu, et bégayait des réponses incompréhensibles. Je me pris la tête entre les mains et laissai s’échapper quelques larmes le long de mes joues. Cette fois-ci, c’était vraiment terminé ! Maxim était quelqu’un de fier, je ne pouvais même plus espérer qu’il me reparle un jour. Je l’avais lu dans ses yeux. Ce baiser avait terminé de briser les derniers restes de notre relation passée, et j‘en voulais beaucoup à Mathis pour avoir fait ce mauvais calcul…

Deux heures plus tard, alors que je rentrais chez moi -quelque peu éméchée, après cette décevante soirée-, les gyrophares d’une ambulance éclairaient la cour intérieure du Rosewood : Jenny, la petite sœur de Maxim, venait d’être retrouvée morte, dans la piscine.

Invité

Ohh ma Tatiana Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 3117492745

(non, non j'te saute pas dessus ^^)
Bienvenue & un énooorme merci à toi d'avoir pris mon scénario !

En plus de ça, très contente de te retrouver Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 2598960201

Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 2598960201

Si t'as des questions, i'm here for you Razz

Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 3896955091

Invité

Décidément, mon petit maxim, je suis une fana de tes scénar ! *sbaf*

Contente de te retrouver, moi aussi ! Hé dis, moi aussi j'peux griffer ton Maxim comme sur ton gif ? Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 4205929361

Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 4205929361

*out*

Thanks Matthew ! Ho oui ho oui, j'veux un lien qui tue tout Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 4276145973

Invité

Bienvenue sur le forum et bon choix pour Dianna. Je l'adore. Et puis Dianna et Chris quoi Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 4205929361

Bref, je veux un lien aussi Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 1219400558

Invité

Tu n'as plus le droit de le faire d'abord Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 3406960028

^^
Juste pour préciser, Maxim/Ella = Elina/Roxee, et Matthew/Mélissa = Maxim, tu suis ? ^^

Invité

Invité

Haaaa mais attendez, le Maxim d'avant est devenu Matthew ?
EDIT : bon, y'a un truc qui me sauve, je m'en suis rendue compte avant que tu me le précises ( 1 seconde et demi avant, certes, mais bon.. xD) Bon, j'vais étudier vos changements de comptes (et vos DC qui compliquent tout dans mon cerveau de brune presque blonde. Grr Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 795445150

Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 795445150

Bordelou j'vais être paumée, moi Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 123803809

xD

Thanks Timothy Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 2574002215

(oui oui, tu es un, crayon ^^)

Invité

Merci pour le crayon Razz

Et moi j'étais Lincoln !

Invité

Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 4244696355

Invité

Ohh ben tu vas t'en sortir j'pense Razz

Et si c'était trop simple, ça serait pas marrant, tu nous connais Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 1001256540

Invité

Timothy R. Bell a écrit:: Merci pour le crayon
Et moi j'étais Lincoln !

Hoo l'ancien Lincoln ? D'accoord ^^

Pinaise vous avez abusé en échangeant vos prénoms, je vais m’emmêler les petons, moi ! Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 4244696355

Me connaissant, je sais que je vais faire des bourdes pendant un bon bout de temps xD Faudrait que je marque ça sur un post-it acroché à mon écran, mais bon.. Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 2872344744

Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 2872344744

^^

Invité

Je crois que j'ai finis, les z'amiiis ! Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 2953299389

J'ai les yeux qui piquent, j'ai les doigts en feu, j'ai les neurones en pâté à chien, mais je crois que c'est tout bon. Ameeeeeen. Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 2833161931

Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 2833161931

Invité

Alors, j'ai quelques petites choses à te dire avant de te valider ^^
D'abord, la soeur jumelle de Tatiana s'appelle Elina, pas Elena, faute de frappe plusieurs fois peut être j'sais pas... Rolling Eyes

Et après, au niveau de ton lien avec Mathis, dans ton histoire, j'ai cru comprendre que tu étais en couple avec lui, ce qui n'est pas le cas ^^ C'est ton meilleur ami, et un soir, il va t'embrasser pour rendre jaloux Maxim mais c'est tout pour le moment Razz

Sinon, à part ces petites choses à régler, tout est parfait...
D'ailleurs j'aime beaucoup ton histoire Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 2603259518

Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 2603259518

Invité

Han mais ouii affraid

Punaise j'me suis emballée, hier soir ! J'suis choquée ! xD

Alors pour le prénom, sorry c'est que j'ai beaucoup RP avec une Elena sur un ancien forum Rolling Eyes

Je vais de suite changer les noms.

Et pour ce qui est de la fin de l'histoire, je ne comprends pas. Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 4285807314

Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 4285807314

je suis partie en live, faut croire que mon imagination a pris le contrôle de mon corps Razz

Je m'occupe de tout ça ^^

T'inquiètes pas, ce n'est pas bien grave !
J'ten veux pas, j'comprends les coups de folies, bizarrement Razz

(C'est mon deuxième compte, j'précise, si jamais t'es encore perdue ^^)

Invité

Rhooo je déteste les DC. Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 795445150

Je pense que je vais tous vous appeler par vos pseudo/prénom, comme ça, je m'y retrouverais mieux. Niahaha. ^^

Allez je vais m'occuper de changer la fin de l'histoire ^^

Ça marche !
Fais moi signe quand c'est bon Razz

Invité

Je crois que ça y est.. *va faire sa prière*
Désolée, la partie modifiée est vraiment nullasse Tatiana - jesuistoujoursàlarecherched'untitre --' 795445150

mais là je n'arrive pas à faire mieux..

Invité

Citation :

miss Falldown !

accepté

» Tatiana ☼ 'Et souvent, c'est l'effet des caprices du sort, Qu'au milieu des écueils on rencontre le port.'
» Tatiana ☺ "je blablate, tu blablates, il blablate, nous blablatons..."